Devenir animal, c’est partir loin hors de soi, sortir de chez soi, se « déterritorialiser », éprouver les extases d’un être-là qui s’ouvre à l’altérité. C’est en ce sens que l’on peut dire que l’animalité est toujours une figure de l’altérité. Devenir animal, c’est partir loin hors de soi, sortir de chez soi, se « déterritorialiser », éprouver les extases d’un être-là qui s’ouvre à l’altérité. C’est en ce sens que l’on peut dire que l’animalité est toujours une figure de l’altérité. Devenir animal, c’est partir loin hors de soi, sortir de chez soi, se « déterritorialiser », éprouver les extases d’un être-là qui s’ouvre à l’altérité. C’est en ce sens que l’on peut dire que l’animalité est toujours une figure de l’altérité. Devenir animal, c’est partir loin hors de soi, sortir de chez soi, se « déterritorialiser », éprouver les extases d’un être-là qui s’ouvre à l’altérité. C’est en ce sens que l’on peut dire que l’animalité est toujours une figure de l’altérité. 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